Entrainements réguliers, bonnes performances, jour après jour... Pourtant le jour de la compétition, l'athlète flanche, passe à côté ou l'équipe échoue quand on lui pensait avoir tous les atouts en main...
Gestes techniques, tactique, entrainement physiques ne sont pas suffisants. Car le sportif n'est pas une machine programmable. Il est aussi un individu aux prises avec ses doutes, ses croyances, son stress...
C'est là qu'intervient la préparation mentale. Cette discipline cherche à identifier pour chaque individu ou collectif quel est l'état le plus approprié pour performer et comment le maintenir.
La préparation mentale va utiliser des outils de gestion du stress et des ressources mentales telles que concentration, confiance... Le travail peut être cognitif : modification des pensées négatives, contrôle des pensées ; porter sur la concentration avec l'imagerie mentale par exemple. La relaxation est également souvent utilisée. Mais tous ses outils n'ont de sens que lorsque la problématique a clairement été cernée et que des objectifs ont été posés. La fixation d'objectif est un bon support de la motivation sur le court comme le long terme, en supportant tous les aléas d'une carrière sportive...
Mais mon identité de psychologue m'amène à prendre en compte l'individu au-delà de ces habiletés mentales. Comprendre comment s'enracine sa pratique sportive, quels enjeux personnels et interactions avec son entourage (familial, entraineur, public). L'enfer est pavée de bonnes intentions, ne dit-on pas... Comment ne pas se perdre de vue quand autour de soi beaucoup de personnes rêvent de résultats, de médailles...
Soutenir la performance par l'apprentissage d'habiletés mentales n'exclue pas l'accomplissement de soi.
Pour performer, il faut se dépasser.
Comment comprendre ?
Gestes techniques, tactique, entrainement physiques ne sont pas suffisants. Car le sportif n'est pas une machine programmable. Il est aussi un individu aux prises avec ses doutes, ses croyances, son stress...
C'est là qu'intervient la préparation mentale. Cette discipline cherche à identifier pour chaque individu ou collectif quel est l'état le plus approprié pour performer et comment le maintenir.
La préparation mentale va utiliser des outils de gestion du stress et des ressources mentales telles que concentration, confiance... Le travail peut être cognitif : modification des pensées négatives, contrôle des pensées ; porter sur la concentration avec l'imagerie mentale par exemple. La relaxation est également souvent utilisée. Mais tous ses outils n'ont de sens que lorsque la problématique a clairement été cernée et que des objectifs ont été posés. La fixation d'objectif est un bon support de la motivation sur le court comme le long terme, en supportant tous les aléas d'une carrière sportive...
Mais mon identité de psychologue m'amène à prendre en compte l'individu au-delà de ces habiletés mentales. Comprendre comment s'enracine sa pratique sportive, quels enjeux personnels et interactions avec son entourage (familial, entraineur, public). L'enfer est pavée de bonnes intentions, ne dit-on pas... Comment ne pas se perdre de vue quand autour de soi beaucoup de personnes rêvent de résultats, de médailles...
Soutenir la performance par l'apprentissage d'habiletés mentales n'exclue pas l'accomplissement de soi.
Pour performer, il faut se dépasser.
L'accomplissement de soi supposerait une limite quand le dépassement serait plus du côté de l'illimité. C'est l'écart, l'intervalle, l'espace entre ces deux limites que j'accompagne en tant que psychologue-préparatrice mentale.
Ma philosophie : trouver son équilibre dans le déséquilibre ; endurer la douleur sans mise en danger ; respecter les règles dictées par le sport via les fédérations, les clubs ; rechercher ses sensations comme indicateurs du plaisir de la pratique.
J'accompagne une histoire de vie singulière, car notamment axée sur la recherche de l'excellence. Je préviens également toute difficulté à l'arrêt du sport de haut niveau. Rompre avec le monde des sensations fortes, passer à une vie où l'excellence n'est pas au rendez-vous peut entrainer des désordres pénibles, sauf si l'excellence reste la juste mesure.
Pierre de Coubertin : "Le sport c'est la liberté de l'excès."
Ma déontologie : elle s'appuie sur les articles du codes du psychologue. Ainsi : respects des droits de la personne, compétence, responsabilité et autonomie, rigueur, intégrité et probité, respect du but assigné. Dans ma pratique de la préparation mentale en cabinet, je trouve intéressant de "contractualiser" notre travail. De définir ensemble les objectifs que nous poursuivons.
Mais la préparation mentale ne s'adresse pas seulement au sportif :
vous passez un examen, un concours,
vous êtes engagé dans un projet professionnel dont l'enjeu génère un stress...
Il existe nombre de situations où la préparation mentale peut nous aider.
Historique des interventions :
* Pôle espoir de Gymnastique artistique féminine, Toulon.
* Pôle espoir de Football américain, La Garde.
* Pôle espoir de Rugby, Hyères, puis Académie de Toulon
* Pôle espoir de Gymnastique artistique féminine, Toulon.
* Pôle espoir de Football américain, La Garde.
* Pôle espoir de Rugby, Hyères, puis Académie de Toulon
* Pôle espoir de Badminton, Hyères
* D.U. Préparateur mental, Intervention et aide à la performance de l'Université de Clermont-Ferrand
* D.U. Préparateur mental, Intervention et aide à la performance de l'Université de Clermont-Ferrand
* Master 2 EOPS, Université Paris-Est Créteil (intervention : Mindfulness et sport)
* Rugby Club Hyères Carqueiranne La Crau
